Basket-raclette-glamour: une équation gagnante

La perspective de la soirée raclette pesait-elle déjà sur nos estomacs et nos jambes ? Quoi qu’il en soit, le match contre les Finances a mis un peu de temps à démarrer, le score n’évoluant que parcimonieusement sur le tableau d’affichage : 4-0, 7-0 puis 7-2 à 5’. Mais nous avons à cela plusieurs explications :

–        Une défense de fer,  hein « Ouilly » ?

–        N’ayant pu décaler l’horaire du match pour attendre sa famille, Romy s’est dit qu’elle ne commencerait à jouer qu’une fois qu’elle les verrait dans les tribunes. Heureusement, ils sont arrivés lors du 1er quart.

–        Par politesse pour notre Sœur Sourire, qui fêtait dimanche ses 25 printemps, nous lui avons laissé la primeur des paniers : et notre 🙂 s’est fait plaisir en s’offrant quelques trois points. JOYEUX ANNIVERSAIRE A TOI CELIA !!!!!

Bref, l’écart a fini par se creuser mais trop de balles perdues, d’approximations défensives et de déchets offensifs n’augurent pas encore d’un avenir d’une transcendante sérénité. Retenons quand même le résultat final (69-45) et la participation de la totalité de l’effectif à la victoire, hormis Mel qui s’est cassé trois côtes en faisant, paraît-il, du kick boxing la veille. Mais chut.

Une fois la formalité du match évacuée et une fois que Romy avait (enfin) fini ses étirements, nous avons pu nous concentrer sur la soirée dont le menu me donne encore des frissons aujourd’hui : des montagnes de fromage (mmmm, rien que d’y penser…), de charcuterie et de pommes de terre amoureusement préparées attendaient les filles, le staff, quelques parents et autres pièces rapportées au clubhouse. Ainsi, nous avions, en vrac : un ex-footballeur de Chelsea (!!), une bergère (affublée d’une peau de bête), un futur diplomate (d’ailleurs ces deux derniers individus forment un couple), un cowboy de Brooklyn, une lituanienne, une catherinette,  deux chauves dont un tchèque, une bretonne vraiment gaie (je crois qu’elle fêtait le début de ses vacances… je crois bien qu’elle était moins gaie le lendemain au réveil… mais chut),  et une famille picarde. Tout ce petit monde a pu accueillir et réconforter une maman-entraîneur et son fils-basketteur qui sont revenus bredouilles de leur match chez les voisins de Bourg-la-Reine. Tout cela n’est-il pas biotifoul ? Si toi aussi, lecteur, tu veux faire des soirées glamour, avec des stars du foot, de la politique, des moutons et des américains, n’hésite pas à venir nous supporter à Sceaux !

En attendant, nous, les SF1, allons voir la mer… heu… nous allons jouer à Oye-Plage dès dimanche prochain pour ramener des coquil… heu la victoire. Ou peut-être que si l’on gagne ou pourra chercher des coquillages ? Hein ? Bref ne nous éparpillons pas : cette équipe, qui vient de gagner contre Douvres, ne sera pas à prendre à la légère. A nous d’être appliquées et solidaires pour ne pas avoir à nourrir de regrets… et surtout pouvoir aller à la mer ;-).

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